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Alliance pour le Douaisis
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7 septembre 2015

IL EST URGENT QUE LES RÉGIONS DE FRANCE SORTENT DU SOCIALISME »

 

region

Bruno Retailleau sénateur

« Fier » de porter le flambeau de la reconquête en région Pays de la Loire, « heureux » d’avoir très tôt scellé une alliance avec les partenaires de l’UDI, Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée et président du groupe Les Républicains au Sénat a reçu un encouragement massif, samedi, de 1 500 personnes présentes à l’université d’été de La Baule.

Un rendez-vous de travail unitaire rehaussé par la présence du président Nicolas Sarkozy, des anciens Premiers ministres Alain Juppé et François Fillon, de membres de l’équipe dirigeante (Eric Woerth, Roger Karoutchi, Isabelle Le Callennec, Thierry Solère…) ainsi que de très nombreux parlementaires. 

 

L’occasion pour la tête de file Les Républicains-UDI en région Pays de Loire de critiquer la gestion et les méthodes du PS. « Il n’y a pas deux PS. Ici, à Nantes comme à Paris, ce sont les mêmes : toujours plus de fonctionnaires, toujours plus de dépenses publiques, toujours plus d’impôts, toujours plus de dettes ».

 

Révolté par la chute historique de l’apprentissage tant en France qu’en région Pays de la Loire « alors que l’apprentissage est la voie du succès », Bruno Retailleau a ciblé tous les exemples de l’ « impuissance publique » dans sa région à commencer par la ZAD de Notre-Dame-des-Landes, « la plus grande zone de non-droit. La République est une affaire de droit. Cet exemple montre la faillite, la déliquescence de l’Etat ».

 

Il est donc urgent aux yeux de Bruno Retailleau que les régions de France « sortent du socialisme ». Cela ne pourra se faire, selon lui sans trois conduites à tenir : l’unité, le courage et des idées. « Il n’y aura pas de victoire nationale s’il n’y a pas de reconquête au niveau local », estime Bruno Retailleau rappelant combien l’unité des forces républicaines de la droite et du centre avait été bénéfique pour les départementales de mars dernier. Le courage, c’est celui « d’être nous-mêmes. Il faut secouer l’hégémonie idéologique de la gauche qui n’a plus d’idées mais que des réflexes ». Quant aux idées, Bruno Retailleau estime qu’elles doivent s’inscrire dans les projets des Républicains autour de trois exigences, de trois valeurs : la liberté pour nos entreprises, nos agriculteurs, nos artisans, nos médecins, les familles ; la transmission et la fidélité à l’identité française ; l’obligation de s’inscrire dans le réel, « ce que fuit la gauche », déplore Bruno Retailleau qui a décidé de faire de la lutte contre les addictions (alcool, drogue) l’une des grandes priorités du mandat. « Les Pays de la Loire sont l’une des régions où les jeunes sont les plus touchés par la drogue et l’alcool. Et l’action du conseil régional en la matière a été très largement insuffisante. Pire : des membres éminents de l’actuelle majorité, ont clairement encouragé, ou entretenu l’ambiguïté, sur la dépénalisation du cannabis », a-t-il souligné.

 

Enfin, Bruno Retailleau a également indiqué que pour Les Républicains il y avait l’exigence d’œuvrer pour les jeunes « à qui François Hollande a tant promis » et de redresser la France en commençant par redresser les territoires.

 

Présidente délégué des Républicains, Nathalie Kosciusko-Morizet acquiesce : « Les Français le savent, le redressement économique commence par le quotidien, par la vie des territoires, par les écoles, les collèges, les emplois dans les zones d’activités, le dynamisme des clubs et des associations… ».

Elle aussi critique la gestion socialiste des régions « qui n’a rien à envier à la gestion socialiste du pays. Les régions ont même été les laboratoires de recherche, les laboratoires du désastre de François Hollande. On a eu l’explosion de la dette, des impôts, des dépenses de fonctionnement et du recrutement de fonctionnaires territoriaux et dans le même temps, le taux de chômage record et notamment le chômage des jeunes, tout y est… ».

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Commentaires
T
L' ennui avec les socialistes c' est qu' ils ne veulent pas reconnaitre s' être trompés, et qu' ils voudraient forcer tout le monde à penser comme eux
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