Impôts et chômage...............
Et un mensonge de plus pour François Hollande : il avait promis que les impôts n'augmenteraient pas en 2017 et il vient d'annoncer, en catimini, une nouvelle taxe baptisée Taxe spéciale d'aménagement régional, la TSER.
Ce nouveau prélèvement sera inscrit dans la loi de Finances 2017 et serait a priori assis sur les mêmes bases que la taxe foncière.
La taxe sera collectée par l'Etat auprès des ménages et des entreprises pour les régions.
Ce sont ainsi quelques 600 millions d'euros supplémentaires qui vont être soustraits aux Français !
Or nous savons parfaitement que pour que la compétitivité reparte dans notre pays il est indispensable de faire baisser la fiscalité des entreprises et des ménages.
Cette augmentation est l'un des nombreux avatars de la totale impréparation par le duo Hollande/Valls de la fusion des régions.
Cette réforme construite sur un coin de table, brouillonne et non financée, génère non pas des économies comme le gouvernement l'avait laissé entendre mais bien évidemment des surcoûts puisque la Loi Notre transfère aux régions la compétence économique autrefois dévolue aux départements.
Impréparation et amateurisme !
Comme à chaque fois, les socialistes tentent de régler leur propre turpitude en puisant dans le portefeuille des Français !
CHOMAGE
La hausse du chômage au mois de mai met en lumière l'échec du gouvernement sur le front de l'emploi. Ça ne va pas mieux et l'inversion de la courbe du chômage n'est décidément pas pour cette année.
Le chiffre
+ 31 900 chômeurs en mai 2016 (France entière, catégories A, B et C).
La France compte à présent 5 428 300 chômeurs (catégories A, B et C)
Depuis mai 2012, ce sont 1 105 400 personnes supplémentaires qui sont au chômage (France entière, catégorie, A, B et C). Depuis l'élection de François Hollande, les années se suivent et se ressemblent : invariablement le chômage augmente. Les socialistes promettent aux Français une embellie qui ne vient pas et qui ne viendra plus.
Plus inquiétant encore, depuis mai 2012, le nombre de demandeurs de chômeurs de longue durée (plus d'un an) à Pôle Emploi a progressé de plus de 43 % ! Hors plus un chômeur met longtemps à retrouver un emploi, moins ses chances de réintégrer le marché du travail sont importantes.
Pour les chômeurs de catégorie A, le bilan n'est pas meilleur
En progressant de 9 500 personnes (France entière) en mai 2016, le nombre de chômeurs de catégorie A atteint 3 775 700.
Depuis mai 2012, notre pays compte ainsi 611 800 chômeurs de catégorie A de plus. Cette réalité éclaire sur l'échec patent de François Hollande à faire reculer le chômage. Entre mai 2012 et février 2016, le chômage a progressé de 19,33 % !
L'enfumage du gouvernement sur les chômeurs en formation n'y change rien !
Le chômage progresse, alors même que François Hollande a promis en janvier un grand plan de formation censé faire baisser – artificiellement – le nombre de demandeurs d'emploi.
Et malgré l'augmentation de 7,6 % des inscriptions en formations (non-comptabilisé dans les chiffres du chômage), le nombre de chômeurs de catégorie A a augmenté de 9 500 personnes en mai 2016.
Source Les Républicains
Félicitations à :
Félicitations à :
Jean Paul FONTAINE maire de Lallaing, vice président de l’alliance pour le douaisis a été élevé au grade de Lieutenant-colonel dans la Réserve Citoyenne par le Lieutenant-colonel VAN DAME, DMD adjoint du Nord, ce matin au Musée des Canonniers de Lille.
Un double bravo à Martial Vandewoestyne maire de Lambres les Douai, ancien président de membre de l alliance a donné l’exemple en mouillant le maillot en participant au trail de la petite sensée
Ce qui change au 1er juillet 2016
Mort de Benoîte Groult, grande figure du féminisme
à tous les papas une bonne fête....
18 juin1940................
“
La France ne peut être la France sans la grandeur.
A la base de notre civilisation, il y a la liberté de chacun dans sa pensée, ses croyances, ses opinions, son travail, ses loisirs.
Il n’y a que les arrivistes pour arriver.
”Citations de Charles DE GAULLE
Le texte de l'appel du 18 juin 1940
Ce gouvernement, alléguant la défaite de nos armées, s'est mis en rapport avec l'ennemi pour cesser le combat.
Certes, nous avons été, nous sommes, submergés par la force mécanique, terrestre et aérienne, de l'ennemi.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui nous font reculer. Ce sont les chars, les avions, la tactique des Allemands qui ont surpris nos chefs au point de les amener là où ils en sont aujourd'hui.
Mais le dernier mot est-il dit ? L'espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? Non !
Croyez-moi, moi qui vous parle en connaissance de cause et vous dis que rien n'est perdu pour la France. Les mêmes moyens qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
Car la France n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle n'est pas seule ! Elle a un vaste Empire derrière elle. Elle peut faire bloc avec l'Empire britannique qui tient la mer et continue la lutte. Elle peut, comme l'Angleterre, utiliser sans limites l'immense industrie des Etats-Unis.
Cette guerre n'est pas limitée au territoire malheureux de notre pays. Cette guerre n'est pas tranchée par la bataille de France. Cette guerre est une guerre mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances, n'empêchent pas qu'il y a, dans l'univers, tous les moyens nécessaires pour écraser un jour nos ennemis. Foudroyés aujourd'hui par la force mécanique, nous pourrons vaincre dans l'avenir par une force mécanique supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, Général de Gaulle, actuellement à Londres, j'invite les officiers et les soldats français qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, avec leurs armes ou sans leurs armes, j'invite les ingénieurs et les ouvriers spécialistes des industries d'armement qui se trouvent en territoire britannique ou qui viendraient à s'y trouver, à se mettre en rapport avec moi.
Quoi qu'il arrive, la flamme de la résistance française ne doit pas s'éteindre et ne s'éteindra pas.
Demain, comme aujourd'hui, je parlerai à la Radio de Londres."
Attentats :.réactions ...............
Attentats :.réactions de Brigitte KUSTER Porte-parole Les Républicains et François Zocchetto sénateur du groupe UDI UC
De nombreuses questions se posent après l'épouvantable attentat qui a frappé un couple de policiers à son domicile.
Pourquoi le gouvernement refuse-t-il d'enfermer les islamistes signalés dans des centres de rétention administrative ? Ou à minima de les assigner à résidence, comme la loi l'y autorise, avec obligation de porter un bracelet électronique ? Pourquoi, également, fragilise-t-il l'état d'urgence (qui court jusqu'au 26 juillet) en autorisant des manifestations qui, chaque fois, dégénèrent et épuisent nos forces de l'ordre ? Ces questions ne peuvent pas être éludées plus longtemps.
De la même façon, le gouvernement doit dresser le bilan des 3 lois anti-terroristes qu'il a fait adopter depuis 2012, et que l'opposition a votées dans un esprit d'unité nationale ; malgré le rejet de la plupart de ses amendements, comme celui relatif à la rétention préventive.
Il est clairement nécessaire de donner plus de moyens à l'Etat pour anticiper la menace. C'est ce à quoi s'emploient les députés (LR) Eric Ciotti et Guillaume Larrivé à travers la proposition de loi qu'ils s'apprêtent à déposer, et dont voilà les principales mesures :
- Donner au ministre de l'Intérieur le pouvoir d'assigner, dans un centre de rétention fermé, tout individu qui présente une grave menace pour la sécurité nationale, sous le contrôle du conseil d'Etat.
- Fixer à 15 ans, au-lieu de 10 actuellement, la peine d'emprisonnement pour participation à une association de malfaiteurs en vue de la préparation d'un acte terroriste.
- Supprimer en matière de terrorisme toute automaticité de réduction de peines, toute possibilité de libération conditionnelle, toute permission de sortie ou placement sous le régime de la semi-liberté.
- Ouvrir le régime de la rétention de sureté aux terroristes dont le risque de récidive à la sortie de prison est élevé.
- Durcir les sanctions à l'encontre de ceux qui fréquentent des sites Internet faisant l'apologie du terrorisme ou apporte leur soutien à l'Etat islamique.
Il est temps de hisser notre arsenal judiciaire et répressif au niveau de la menace terroriste que la France doit affronter. Il est grand temps !
Brigitte KUSTER
Porte-parole Les Républicains
François Zocchetto - Attentats : « Après l’épouvantable assassinat de deux policiers, nos services de renseignement sont ils suffisants ? Quelles mesures pour que notre pays retrouve le calme et la sérénité ? »
Au lendemain de l’épouvantable assassinat qui endeuille la France, François Zocchetto, président du groupe UDI-UC et sénateur de la Mayenne, a interpellé ce jour le Premier Ministre, sur les mesures à mettre en œuvre pour que la France retrouve la sérénité, le calme et la fraternité républicaine. Il l’a également interrogé sur l’état de nos moyens de renseignement.
« Notre pays, une fois encore, a été la cible d’un crime abject. Deux de nos compatriotes ont été sauvagement assassinés, à leur domicile, par un terroriste.
Nos pensées vont naturellement aux proches de ce commandant de police et de son épouse, ainsi qu’à leur jeune enfant sauvé par les policiers du RAID. Nous pensons également à l’ensemble des collègues de ces deux fonctionnaires et à tous ceux qui exposent chaque jour leur vie pour assurer notre sécurité.
C’est un sentiment terrible que nous avons : personne n’est à l’abri de ces criminels. DAESH nous frappe ; il frappe aussi nos alliés avec cette tuerie atroce aux Etats-Unis il y a peine 48 heures.
Il frappe des symboles, il frappe des innocents avec toujours plus de barbarie et de violence.
L’assassin était connu de la Justice. Il avait même été condamné en 2013 à 3 ans de prison dont 6 mois avec sursis. On nous dit que le tueur avait suivi l’ensemble des obligations décidées par le tribunal dans le cadre de son sursis avec mise à l’épreuve. On nous dit que l’individu était suivi par les services de renseignement et qu’il faisait l’objet d’une surveillance téléphonique.
Et pourtant, cela n’a pas empêché le passage à l’acte. La France est plongée dans un abîme de perplexité et d’inquiétude.
Malgré les nombreuses dispositions que nous avons votées ces derniers mois, ici-même au Sénat, ce nouvel évènement n’est-il pas le signe que la surveillance et les moyens de renseignement concernant des individus radicalisés dans notre pays sont encore largement insuffisants ?
Les forces de sécurité ne semblent plus en mesure de faire leur travail, exténuées, harcelées à Paris, Rennes, Nantes, Marseille, par les contestataires, casseurs, zadistes et hooligans de toutes sortes que le pouvoir n’a pas su contenir depuis des mois.
Quelle politique le Président de la République et le Gouvernement comptent-ils proposer aux Français maintenant pour que cesse l’escalade de la violence, pour que notre pays retrouve la sérénité, le calme et la fraternité républicaine sans lesquelles il ne sera pas possible de combattre les assassins barbares ? »
ACTION DE LA REGION HAUTS DE FRANCE
Nous voulons faire du texte une loi contre le chômage de masse »
Projet de loi El Khomri
« Nous voulons faire du texte une loi contre le chômage de masse »
Le Président du groupe les Républicains Bruno RETAILLEAU défend la position de la droite concernant le projet de loi El Khomri, discuté en séance publique au Sénat à partir de lundi.
LE FIGARO.- Que répondez-vous à ceux qui estiment que la majorité sénatoriale prend le risque de faire capoter une loi El Khomri qui contient des avancées ?
Bruno RETAILLEAU - Il ne faut pas tomber dans le piège que nous tend la gauche. Dans ce texte, il n’y a plus rien. Il ne concerne que 4 % des entreprises. D’ailleurs, nous avons l’intention de conforter les points positifs. Le vrai risque pour la majorité sénatoriale serait de rentrer à la niche après les admonestations de la gauche, comme nous l’avons vu avec Manuel Valls et Jean-Christophe Cambadélis, mercredi soir (le PS a organisé un meeting à Paris pour défendre la loi contre « les régressions » de la droite sénatoriale, NDLR). Nous ne pouvons pas abdiquer toute volonté réformatrice. Au moment où nous allons entrer dans un cycle présidentiel, si la droite et le centre au Sénat n’étaient pas capables d’assumer une réforme et leurs convictions, ils prendraient le risque d’envoyer un très mauvais signal. Ce serait une décrédibilisation de tous nos candidats à la primaire.
Quel est l’esprit des corrections que vous apportez à ce texte ?
Nous avons une conception différente du droit du travail. La gauche, dans son surmoi marxiste, pense encore que l’entreprise est une tension entre les salariés et le chef d’entreprise. Nous, nous pensons que l’entreprise est une communauté humaine qui partage un projet et défend les mêmes intérêts. Les réformes que nous allons inscrire (sortie des 35 heures, participation, barème prud’homal, clause de retour à meilleure fortune...) ne sont pas contre les salariés mais contre le chômage. Nous voulons en faire une loi contre le chômage de masse.
Des chefs d’entreprise pensent que c’est une occasion d’amorcer l’inversion de la hiérarchie des normes...
C’est un point que nous conforterons de toute façon. Mais si la droite sénatoriale avait repris le texte issu du 49-3, cela aurait été terrible pour nous. Cela aurait signifié qu’il n’y a aucune différence entre la gauche et la droite, alors que tous les candidats à la primaire proclament leur volonté de réformer. Il est impossible, pour nos convictions, de laisser croire que lorsque la droite et le centre sont en position majoritaire, ils font comme la gauche. Nous pouvons aider le gouvernement à mieux faire. Il peut même garder certains points dans le périmètre du texte qu’il retiendra en cas de recours au 49-3 en deuxième lecture à l’Assemblée nationale. Je peux vous dire que le cabinet de Myriam El Khomri a admis que certains éléments pourraient être intégrés.
On sait que l’Assemblée nationale aura le dernier mot. Comment pouvez-vous imaginer qu’elle accepte de retenir vos corrections ?
Ils ne les accepteront pas en totalité, mais ils peuvent parfaitement le faire sur certains points comme la participation ou le forfait jours pour les PME, qui font consensus. D’autres éléments concrets comme les seuils sociaux, l’apprentissage ou le rescrit social me semblent acceptables. Le Sénat va essayer d’inciter le premier ministre à faire un peu plus. Si ce n’est pas la version 1 du projet de loi, que ce soit la version 1 bis.
Parmi les critiques, les plus politiques se demandent pourquoi vous ne profitez pas de l’occasion pour mettre Manuel Valls dans une situation intenable. Votre avis ?
Soit on fait de la politique politicienne, soit on essaye de légiférer avec un souci d’intérêt général. Nous avons choisi la deuxième position. Nous essayons de bâtir une arme contre le chômage de masse endémique. Depuis trente ans, la France s’y enfonce. Il est de notre responsabilité de défendre ce projet avec une conception de l’entreprise radicalement différente. Par exemple, ce texte est un déni total de l’apprentissage puisqu’on y propose un assistanat pour le jeune avec une sorte de RSA généralisé. Nous, nous défendons l’apprentissage, car les jeunes ne veulent pas être réduits à une situation de dépendance. Ils veulent qu’on leur mette le pied à l’étrier. Nous ne pouvons pas donner notre caution sénatoriale à une « non-réforme » ou à une « réforme à l’envers » , comme l’a très bien dit François Fillon.
Gérard Larcher, président du Sénat, a achevé jeudi un cycle de rencontres avec les organisations syndicales et patronales. Qu’en a-t-il retenu ?
Gérard Larcher est un amoureux du dialogue social. Il en a fait une loi de modernisation. Il est très positif de vouloir expliquer à ces organisations le travail du Sénat.