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Alliance pour le Douaisis
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27 janvier 2016

25 propositions pour l’économie...............

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 25 PROPOSITIONS DES SÉNATEURS LES RÉPUBLICAINS POUR RELANCER L’ÉCONOMIE FRANÇAISE

Le document tient en une quarantaine de pages et résume le travail de fond des sénateurs Républicains préoccupés par le dévissage économique de notre pays mais également de son prestige et de son image depuis 2012 avec ses 6 millions de chômeurs, le record mondial des prélèvements obligatoires, une balance commerciale en chute libre, des gains de productivité insignifiants, un environnement juridique devenu un enfer normatif…

« Depuis 2012 », insiste Bruno Retailleau, sénateur de la Vendée, président du groupe Les Républicains au Sénat, visant l’ « accumulation d’erreurs » témoignant d’une méconnaissance de la logique entrepreneuriale que sont les hausses « brutales » de fiscalité tant pour les entreprises que les ménages, la majoration de la part patronale à la contribution d’assurance-chômage pour les CDD de courte durée, les mesures sur l’apprentissage et sur les stagiaires…

A travers 25 propositions concrètes, les sénateurs Les Républicains, sous la houlette de Bruno Retailleau, veulent ouvrir à la Haute assemblée un débat sur la relance économique au travers d’une proposition de loi qui devrait être discutée au printemps prochain.

Une contribution législative « prête à l’emploi », applicable dès les premiers mois de la nouvelle présidence en 2017 en cas d’alternance. Mais également un socle de propositions économiques qui serviront à alimenter le débat des candidats de notre famille politique qui concourront, fin novembre, à la primaire de la droite républicaine et du centre.

« En France on a tout essayé sur le chômage, sauf ce qui marche ! Nous voulons créer un climat favorable à un changement d’état d’esprit. Longtemps la droite a fait, en économie, de la sous-enchère aux idées de gauche: moins de fiscalité, moins de 35 heures… Il est temps de traiter les racines de la faiblesse française, car il n’y a pas de fatalité à ce déclassement!», lance Bruno Retailleau déplorant la fuite de la matière grise, « notre ultime richesse de notre pays qui a tourné le dos à la réussite et à sa tradition de création et d’innovation ».

Prenant exemple sur le succès du statut d’auto-entrepreneur, les sénateurs Les Républicains estiment qu’il y a « urgence à libérer les énergies, à encourager l’initiative et l’investissement, à réduire les contraintes administratives, à supprimer tout obstacle inutile ou d’intérêt mineur, à ramener les impôts et charges à un niveau comparable à celui de nos concurrents ». Et de s’appuyer sur les exemples du Canada, de la Suède ou de l’Allemagne qui, en moins de dix ans, « ont réussi à réformer en profondeur leurs structures, sans sacrifier leur niveau de vie et en créant des emplois. »

Cette base de programme articulée en 25 propositions a été délibérément élaborée du point de vue de l’entreprise et est marquée du sceau de « la volonté, du courage, de la détermination et du pragmatisme ».

Ce programme s‘appuie sur quatre socles : la simplification de la vie des entreprises, l’allégement de la la fiscalité pesant sur les entreprises et les investisseurs, la révision du système d’apprentissage et de formation professionnelle, le soutien à l’innovation.

Aux yeux des sénateurs Les Républicains, il ne peut y avoir simplification de la vie des entreprises sans une refonte du code du travail afin de fluidifier les relations de travail à l’entrée et à la sortie, sans un dialogue social adapté à la réalité de chaque entreprise, sans augmentation du temps de travail, sans diminution des contraintes réglementaires et administratives.

Afin d’alléger la fiscalité pesant sur les entreprises et les investisseurs, les sénateurs Les Républicains veulent « diminuer durablement » les charges sociales mais également supprimer l’impôt sur la fortune (ISF) « responsable d’expatriations fiscales, de fuite des capitaux, de délocalisations et qui freine l’investissement en France », ramener le taux d’impôt sur les sociétés à 25%, faciliter la transmission et le développement des entreprises familiales…

Alors que l’apprentissage « est un levier majeur de l’insertion professionnelle des jeunes », les sénateurs Les Républicains veulent relancer le développement de l’apprentissage et redéployer les fonds de formation professionnelle.

Enfin, pour soutenir l’innovation, les sénateurs Les Républicains proposent d’ « aider les porteurs de projets, faciliter le développement des start-up up, privilégier les pôles de compétitivité de niveau européen ou mondial, promouvoir l’expansion du numérique dans les entreprises et les territoires ».

« Il ne faut pas que la politique soit un chagrin, une désespérance. Les Français portent le deuil de leur pays, les réformes ne seront possibles qui si on leur donne un sens », confie Bruno Retailleau qui a présenté ces propositions du groupe Les Républicains en compagnie de Jean-Claude Lenoir, sénateur de l’Orne et Alain Chatillon, sénateur de Haute-Garonne, respectivement président et vice-président de la commission des Affaires économiques.

 

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Commentaires
T
et bien espérons que la gauche y puisera
D
Notre économie est en piteux état ...<br /> <br /> Bon jeudi, très occupée ...<br /> <br /> Bisoux, serge<br /> <br /> <br /> <br /> Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ ♥ dom ♥ Ƹ̵̡Ӝ̵̨̄Ʒ
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